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dimanche 27 novembre 2011

Cirque de la Voie Lactée



Un pas en arrière pour deux pas en avant. Ce serait ainsi que nous pouvons progresser et améliorer ce que nous réalisons. Beaucoup l'ont dit et plus spécialement un gars en Chine.

dimanche 20 novembre 2011

L'envol.



L'envol est une probabilité à 100% sûre pour ceux qui veulent vivre libres, malgré les obstacles posés par les fâcheux, attardés, oppresseurs et violents.

vendredi 18 novembre 2011

Étoile ascendante




Ici se présente une femme volante merveilleuse, qui porte comme un calice qui peut désaltérer quelqu’un de vraiment assoiffé. 

mercredi 16 novembre 2011

Pliage offert par Daniel Daligand.



Encore un pliage, ramassé par Daniel Daligand. Depuis des années D.D., quand il trouve un pliage lors de ses parcours il me l'envoie. J'ai ainsi reçu des pliages provenant des 4 coins de la terre envoyés par Daniel Daligand. 
Je suis profondément reconnaissant à sa participation à cette formidable entreprise qui consiste à fonder une collection consistante. 
Celle-ci est très spéciale, car c’est très rare de trouver  un pliage « Grenouille » abandonné dans les lieux de passage, où le plus souvent ce sont des avions, flèches, bateaux, cocottes qui peuvent être trouvés.


lundi 14 novembre 2011

dimanche 13 novembre 2011

Paris Couto -Vagueira

Regarder les navires qui passent, les sirènes qui jouent, les sardines qui se cachent, le sable qui accueille l'écume des ondes, et quoi encore?

samedi 12 novembre 2011

Luiz da Rocha - Aire de jeux

Jouer à tout âge.  

Joies imprévues 

– la joie est toujours imprévue – 

protéger ainsi l'enfant en nous, en rencontrant l’enfant de l’autre. 

Chérir la joie, la bonne entente.

vendredi 11 novembre 2011

Luiz da Rocha -  Série "Charades".


Rien à voir avec le reste?  Quelle blague convenue. En 2011, s'autoriser à  formuler le style comme une forme reconnaissable, une signature, cela relève d'un "background" à tendance totalitaire. Cependant, c'est ainsi que nous fûmes conditionnés et les nouvelles générations continuent d’être ainsi conditionnés. Heureux ceux qui ont les gênes, le sang, les cellules qui poussent à faire l’école buissonnière. J'ai entendu dire que l'enfer se cache dans les détails. Or justement, ces à priori de style, c'est un détail d'exclusivité qui renvoie à un totalitarisme toujours aux aguets, si ce n'est déjà largement installé. Le Cercle infernal, pouvoir et peur, peur et pouvoir. C'est curieux, comme ce qui s’autoproclame comme étant de l'art contemporain recèle en lui seul toute sorte d'autoritarisme et d’exclusive, mais surtout dénote une incapacité à formuler des critères esthétiques convaincants. Dés lors, les institutions et les groupes de pression s’imposent grâce à un réseau très bien administré et rodé ; Réseau de certaines écoles d’art, musées, carrés, espaces, « in situs », et hommes d’affaires qui jouent dans la cour du Roi-va-nu. Or les préméditations de la spéculation financière ne sont pas impénétrables. Ils sont bêtement le symptôme intéressant et morbide de la convoitise, du mimétisme et de la rivalité. Une alliance du leninisme-stalinisme (qui fonctionne par avidité sous le masque hideux de la lutte des classes et d’exposés « scientifiques » de l’histoire,ne jouant qu’à partir de la rivalité et du mimétisme) avec les qualités perverses du capitalisme sans frein, appuyé sur une classe de médiocrates pleins de référents et emballements discursifs, ayant comme socle une foule de « Bobos » et politiciens qui craignent plus que tout,de ne pas être pris pour des personnes intelligentes, pour des « gars » qui sont dans le secret des « dieux ». Le tour est fait et la cour du Roi-va-nu, n’est qu’une cour d’où les miracles sont absents..
Alors que depuis longtemps nous sommes entrés dans le post-contemporain, grâce à diverses créations libérées des enclos étatiques, comme les inventions de génies tels que Walt Disney, Hergé, Milton Caniff , Segar, Hitchcock, Andy Warhol et une foule d'autres, hors du discours institué ou échappant à la mainmise des divers parasites, tels que les commissaires, curators contemporains et autres inspecteurs. Je fais ce que je peux pour essayer de maintenir la tête hors de la gadoue, du vomi, de la virulence des divers conjonctions des oppresseurs, qui vu leur indélébile non-existence, cherchent a imposer leur autorité.

jeudi 10 novembre 2011

Bouteilles à la mer -Phare Pierres Noires bateaux en papier




Phare = Lumière, ressac, repères, orientation, attirance, gardien ou gardienne de phare, nuits, brouillards. Ici, nous voyons toute sorte de modèle réduit. Celui d'un phare, bien évidemment, celui des bouteilles détournées de leur première fonction et enfin l'ultra modèle réduit d'un bateau, d'un vaisseau, d'une embarcation, d'un paquebot, d'un cargo, d'un pétrolier, d'un destroyer, d'un ferry-boat, d'une péniche, et de tant d'autres types d’embarcations auxquelles le petit bateau en papier peut se réfère en tant que cryptogramme. Des bouteilles contenant des petits bateaux en papier, ceux-ci remplis recto verso de toute sorte de signes. Dans les étiquettes des bouteilles il est écrit: "Paper Boats Sea Tales". Messages et charades. Charade est un terme que j'utilise souvent pour aborder certaines de mes réalisations, puisque que quoi qu'on dise, il en ressort toujours des charades. L'accepter. c'est s'ouvrir à l'entente, vu que la charade serait le mot qui définit le pont par lequel j'échange avec autrui. Façon d'accepter le malentendu, sans que cela puisse dégénérer en violence, en fâcherie. Pourquoi prendre tout au pied de la lettre? Si seulement étions-nous si parfaits pour pouvoir le faire. Il en faudrait une immense grammaire bien articulé chez l'un et l'autre interlocuteur et même ainsi il reste de l'espace pour des charades. Ou le mieux ce serait de garder le silence. Opter pour la musique. Petits bateaux en papier à l'intérieur de bouteilles en plastique, petits bateaux en papier, enfermés, partitions possibles d'un concert et une bonne entente. Messages d'appel, venant de si loin et de si près. N'est-ce pas?


mercredi 9 novembre 2011

Luiz da rocha - Shooting Star


Rien de plus banal, qu'une fille devant un arbre ou un arbre caché par une fille, ou une demoiselle. C'est bien intéressant d'écrire ; Demoiselle. C'est mieux d'écrire; Demoiselle devant un arbre ou un arbre caché par une demoiselle. Cela fait quelque peu anachronique, voir même plus. Anachronisme pour faire des anachroniques. Par ces temps si boueux, quand progrès, révolution, évolution ne signifient plus rien. Liberté, démocratie, dignité, authenticité, loyauté, générosité, fraternité, courage, noblesse, sont des mots juste bons pour  déformer et servir de caution à des tyrannies qui s’installent partout .
Passons!
Anachronismes, puisque cela, donne une saveur d'air frais, de champs larges, de demoiselles, femmes. dames, jeunes filles, libres et fécondes, maîtresses de leur vie, de leur mise et cou svelte ourlé de perles, d'une chaînette, d'un simple cordon ou juste de leur peau sentant bon, sans plus, ce qui est beaucoup. Jambes pour danser, Oui danser, que comme dit Robert Musil : Toute femme qui danse est belle. C'est tout aussi valable pour les demoiselles. 
Ci-dessus une composition délicieusement anachronique, puisque une demoiselle est présente et nous cache un arbre. Quel arbre? Que fait là le ballon?  Une charade ouverte. 

Désormais les Anachroniques sont ouvertes.

mardi 8 novembre 2011

Luiz da Rocha -Post-Karnag - 2011

Les rêves continuent, même si nous n'avons pas le souvenir. Leur corps, leur langue se pose quelque part dans la Voie Lactée. Aucune interprétation, aucune explication, sinon la tonalité des pierres. Mais comme le dirait l’autre : «Ceci n’est pas une pierre».


lundi 7 novembre 2011

Luiz da Rocha - Post-Karnag 1 - 2011


À chaque rêve, une accumulation, une composition qui dit la dimension ouverte par le rêve, le conte, donne à voir la fable du rêve. C’est un repère, un intense lieu de sens, qui fait pont avec le les territoires, les univers, voir même, les cosmos du mystère des rêves.
Ceci, je l’aperçois vingt quatre ans après mon séjour à Karnag.

dimanche 6 novembre 2011

Luiz da Rocha -Monopoly -1995 - Atelier René Tazé -Paris 
Comme j’entends reprendre des ébauches d’il y a quelques années pour les faire passer par l’épreuve de l’Athanor qu’actuellement semble être bien installé, je me permets de considérer le « premier jus » et avancer avec de nouvelles techniques et comme dirait une jeune Ladie  américaine, je suis très « excited » par cette nouvelle opération, car les supports et les moyens sont à mon avis mieux appropriés pour apporter un ton plus intense et subtil. J’envoie aussi à un autre type d’œuvre qui serait comme un complément, un autre instrument pour mieux parfaire la composition.


dimanche 23 janvier 2011

Bien morose ces temps-ci


Juste pour signaler que je ne pense pas de si tôt baisser crayons et pinceaux. Mais, en considérant que je questionne ce qui peut faire Art, je me permets en attendant, de prendre du plaisir en réalisant des « Desseins ». Oui ! Justement, des desseins, avec E comme E d'excellence.
Une petite série intitulée « Milkyway Charades » qui me procure un plaisir serein.
Voici l’exemple d'une de ces Charades ouvertes avec plusieurs entrées et sorties. À vous de la déchiffrer.